C'est également durant les trois soirées passées en la compagnie d'Eva et Michel que je découvre un reportage sur le Maître, Nuno Oliveira. J'en reste sans voix, les yeux rivées sur l'écran. Ce n'est plus un couple que je vois mais un centaure, une communion parfaite entre l'homme et le cheval, une danse rythmée par les demandes invisibles d'un maître qui travaille sur des airs d'opéra ...
Depuis, mon livre de chevet s'appelle " paroles du maître ", d'Antoine Decoux. J'y retrouve ces petites phrases si savoureusement illustrées, dont Oliveira avait le secret pour faire comprendre à ses élèves ce qu'il attendait d'eux.
Et c'est à cette occasion que je vois pour la première fois Valérie Fratellini, élève du maître.